Le tsunami de l’immigration

Pendant de nombreuses décennies, le Canada a maintenu un taux d’immigration stable et raisonnable, reflétant toujours un pourcentage annuel fiable de la population du pays.

En 2018, les principaux partis politiques du Canada ont voté en faveur de ¹Le Pacte des Nations unies pour une immigration sûre et ordonnée. Cette décision leur a permis d’exercer un contrôle total sur le nombre de nouveaux arrivants entrant dans le pays et sur leurs pays d’origine.
Voici ce qui s’en est suivi.

Il n’y a pas de mal à parler de l’immigration de masse

Les Canadiens de toutes origines veulent moins d’immigration

Q : Quelles informations le gouvernement libéral et les grands médias cachent-ils aux Canadiens sur l’immigration ?

R : Ils ne font état que des nouveaux résidents permanents, ce qui ne représente que la moitié des chiffres totaux. Ils ne divulguent pas le nombre total de résidents « non permanents » approuvés qui ont reçu des promesses de logement, d’emploi, d’aide financière, de soins de santé gratuits et d’éducation. En outre, certaines de ces personnes ont reçu une « voie gratuite vers la citoyenneté ».

Par omission, le gouvernement canadien et les médias financés par le gouvernement fédéral négligent des facteurs clés qui contribuent aux chiffres élevés de l’immigration dans le pays.

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Le gouvernement fédéral ne reconnaît pas non plus l’impact et la charge que ces chiffres font peser sur nos systèmes d’éducation et de santé, le logement, la disponibilité des emplois, les systèmes d’aide sociale, l’environnement, la culture, la sécurité, la dette nationale et, surtout, notre processus démocratique.

Pourquoi ne recevons-nous pas les chiffres complets pour tous les immigrants ?
Que cherche à dissimuler le gouvernement ?

L’immigration de masse peut être considérée comme un acte de génocide culturel.

Les immigrants établis et les nouveaux arrivants devront relever les défis auxquels les Canadiens sont actuellement confrontés. Les coûts des programmes et des services sociaux nous endetteront davantage à mesure que ces systèmes seront de plus en plus surchargés. La cohésion communautaire souffrira de l’émergence d’enclaves réservées aux immigrants.

Sans une dispersion, une intégration, une assimilation et des programmes efficaces pour gérer ce niveau élevé d’immigration, le Canada risque de s’autodétruire ou de régresser vers les conditions non démocratiques des nations mêmes qu’il a cherché à accueillir.

Répartition de l’immigration

Les immigrants sont classés en fonction de leur statut ou de la voie d’immigration qu’ils ont empruntée pour obtenir l’autorisation de vivre au Canada, ce que l’on appelle également la classification de la catégorie d’admission des immigrants. Celane comprend pas les programmes pilotes de résidence spéciale, l’entrée express, le parrainage, les VISA de démarrage, les aides familiaux, les nominations provinciales, les programmes humanitaires fondés sur la famille, les programmes pilotes agroalimentaires, le statut de travailleur de la construction hors statut, et la liste continue(cliquez sur l’image ci-dessous pour voir les voies d’accès).

Par statut

1. Travailleurs étrangers temporaires (TET)
2. Résidents permanents
3. Réfugiés

Par admission

1. Immigrant économique
2. Catégorie des familles
3. Catégorie des réfugiés
4. Étudiants internationaux
(laissez-passer pour la citoyenneté)

Autres voies d'accès

1. Emmigrants de retour
2. Les frontaliers illégaux
3. Tourisme de naissance
4. Programmes pilotes
5. Entrée express
6. Parrainage
7. VISA de démarrage
8. Aidants familiaux
9. Candidatures provinciales
10. Programmes humanitaires
11. Pilotes agroalimentaires
12. Hors statut Statut des travaux de construction
etc…

L’afflux massif de nouveaux arrivants modifie de nombreux aspects de la vie au Canada. Unissons-nous pour trouver des solutions qui aideront tout le monde.