Des services de santé et d’éducation défaillants
Le Canada est devenu une nation de tromperie ; plus nos institutions de santé et d’éducation se détériorent, plus nos politiciens nous assurent qu’elles sont les meilleures au monde.
L’immigration de masse submerge les services de santé et d’éducation
Tout comme le logement, les services sociaux tels que les soins de santé et l’éducation mettent beaucoup de temps à se développer. La planification et la construction de nouveaux hôpitaux et de nouvelles écoles prennent des années, et ces coûts sont supportés par les gouvernements provinciaux. Le Québec est la seule province du Canada à avoir pris le contrôle de l’immigration. Le Québec limite actuellement l’immigration à 50 000 personnes par an. 50 000 sur un total de nouveaux arrivants canadiens qui dépasse aujourd’hui largement les 1 000 000.
Le système de santé canadien est sous assistance respiratoire
Les professionnels de la santé appellent à une mobilisation urgente pour faire face aux pénuries, à l’épuisement professionnel et à l’arriéré de travail
Après une « décennie de déclin » des soins de santé, les Canadiens ne sont pas convaincus que l’argent suffise à résoudre la crise
- La moitié des Canadiens n’ont pas de médecin de famille (19 %) ou ont du mal à consulter celui qu’ils ont (29 %).
- Les problèmes persistants du système de soins de santé ont rendu sept personnes sur dix (68 %) pessimistes quant à l’amélioration du système dans les deux prochaines années et plus de la moitié (56 %) doutent que les choses changent pour le mieux, même dans cinq ans.
- Ceux qui pensent que leur province fait un travail médiocre ou terrible pour mesurer la performance des soins de santé (68 %) sont beaucoup plus nombreux que ceux qui pensent plutôt que leur gouvernement provincial fait un travail excellent ou bon dans ce domaine (24 %). Les deux tiers (67 %) pensent que la performance des soins de santé serait améliorée si leur province mettait à la disposition du public des indicateurs clés de la performance des soins de santé.
L’efficacité de la prestation de soins de santé de qualité devrait être la priorité, et non la propagande climatique
L’Association Médicale Canadienne change de sujet et donne la priorité au « changement climatique » et à la « justice sociale ».
« L’Organisation mondiale de la santé a identifié le changement climatique comme la plus grande menace sanitaire de ce siècle.
Le Canada, dont le réchauffement est deux fois plus rapide que celui de la planète, est particulièrement menacé. Les communautés autochtones, noires et autres communautés marginalisées sont les plus durement touchées, que ce soit en raison des incendies de forêt, de l’élévation du niveau de la mer et du recul des rivages sur les territoires traditionnels, ou des inondations et des dômes de chaleur dans les centres urbains surpeuplés.
Quant aux médecins, les événements climatiques extrêmes rendent les patients plus malades et réduisent les possibilités de soins. »
« Le changement climatique a toujours été une question de santé. Nous exhortons les gouvernements et les décideurs politiques à collaborer pour faire des choix durables et fondés sur des preuves afin de ralentir l’impact du changement climatique aujourd’hui et à l’avenir. » – Kathleen Ross, présidente de l’AMC
Les besoins médicaux d’un candidat à l’immigration doivent désormais dépasser 25 689 dollars par an pour être considérés comme « excessifs ».
Le 16 mars 2022, le seuil de demande excessive est passé de 8 019 $ par an à 25 689 $ par an.
Le seuil de fardeau excessif est la limite que les médecins agréés utilisent pour déterminer si le coût des services de santé et des services sociaux d’un demandeur dépasserait trois fois la moyenne canadienne des services de santé et des services sociaux, telle qu’elle est définie dans le Règlement. À compter du 1er janvier 2023, le seuil de fardeau excessif est de 25 689 $ par année.
Note : Les médecins-conseils ne doivent pas inclure les services sociaux suivants dans le calcul des coûts des services sociaux et de santé si l’on peut raisonnablement s’attendre à ce que l’étranger représente un risque de fardeau excessif pour les services sociaux ou de santé :
- les services liés à l’éducation spéciale, y compris les services liés à la préparation d’un plan d’éducation individualisé et les assistants éducatifs
- les services de réadaptation sociale et professionnelle, y compris les services liés aux installations de réadaptation, à l’ergothérapie, à la thérapie comportementale et à l’orthophonie
- les services d’assistance personnelle non professionnelle, tels que l’aide aux activités de la vie quotidienne (par exemple, se laver, s’habiller, se nourrir), la préparation des repas et le ménage
Les salles de classe mobiles dans les parkings sont un symptôme de la surpopulation et non une solution
Personne n’aime les salles de classe mobiles, mais leur nombre ne cesse d’augmenter
Nous n’avons plus de système éducatif de premier plan. Les performances des écoles canadiennes sont en baisse depuis des décennies. Les nouveaux arrivants au Canada font généralement peser une charge disproportionnée sur les écoles.
Les districts scolaires du Canada ont dû faire face à l’arrivée inattendue de milliers de nouveaux élèves, dont beaucoup sont issus de familles immigrées. Le résultat de ces afflux est une frénésie d’activités pour trouver des salles de classe mobiles, pour recruter des enseignants et pour évaluer les besoins des élèves par rapport aux exigences d’apprentissage. L’immigration massive et chaotique nuit aux élèves.

L’afflux massif de nouveaux arrivants modifie de nombreux aspects de la vie au Canada. Unissons-nous pour trouver des solutions qui aideront tout le monde.